La Norvège, suivie par le Danemark, l’Islande et la Suisse sont classés, à nouveau en 2016, comme les pays champions du bonheur. Le Danemark a rejeté l’euro, les trois autres se sont gardés d’adhérer à l’UE.
Manfred Weber est hors de lui. Le président du groupe du Parti populaire européen (PPE, droite) au sein de l’europarlement, s’est publiquement interrogé : « comment l’Europe peut-elle être aussi stupide pour financer ses ennemis ? »
La « clause Molière » fait des vagues. Le président du Medef en personne est monté au créneau pour dénoncer les dérives « nationalistes » qu’il attribue à cette disposition.
À l’issue du scrutin néerlandais du 15 mars, le Premier ministre libéral sortant, en recul, va devoir former une coalition d’au moins quatre partis. Les cris de joie des dirigeants européens et français sont paradoxaux.
Les noms d’oiseau volent bas entre Ankara et certains pays de l’UE. En cause : la volonté des dirigeants turcs de faire campagne à l’étranger en faveur du Oui au référendum prévu en Turquie le 16 avril.
Xavier Niel est un homme heureux. C’est également un chaud partisan de l’Europe. Au regard de ce qui suit, les deux vont tendrement de pair.
« Comment peut-on avoir grandi avec l’Union européenne et la rejeter aujourd’hui ? » Comment réagir face à une telle niaiserie europhile ?
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