Une actualité chasse l’autre… La classe politique française est entrée en ébullition avec la nomination du plus jeune premier ministre de l’histoire de France et la formation du nouveau gouvernement.
Quelques jours plus tôt, le décès de Jacques Delors, survenu le 27 décembre, avait provoqué en son sein un déluge d’éloges, une cascade de louanges, des torrents de larmes.
L’ancien ministre des finances (1981-1984) sous François Mitterrand, devenu président de la Commission européenne (1985-1995), est désormais élevé au statut d’un des « pères de l’Europe ». L’ex-pape de Bruxelles est en quelque sorte béatifié.
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