Le président de la Commission européenne n’a pas supporté les critiques de Manfred Weber, le président du Parti populaire européen (PPE), sur le Premier ministre grec, son partenaire complice issu de la « gauche radicale ».
La coalition gouvernementale menée par Syriza a accepté le 18 mai le plan de rigueur supplémentaire exigé par les créanciers d’Athènes. La veille, les syndicats avaient appelé à une grève générale de 24 heures.
De quoi le Brexit peut-il encore être responsable ? Un membre du gouvernement d’Alexis Tsipras propose une piste.
Pour un ministre du gouvernement d’Alexis Tsipras, les pro-européens, parmi lesquels il inclut Syriza, doivent être fédéralistes. La « gauche radicale » grecque (mais pas seulement) n’en finit plus d’ébahir…
Un accord entre le gouvernement d’Alexis Tsipras et les créanciers de la Grèce serait proche. Au programme : « réforme du marché du travail », diminution des retraites et privatisation dans le secteur de l’énergie. Le président du groupe Syriza au Parlement européen pense qu’il faut « sauver l’UE de la dissolution ».
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