Au 1er janvier, le Royaume-Uni % a recouvré sa souveraineté économique, ultime accomplissement du choix populaire de juin 2016
Les Vingt-sept ont décidé de décaler la sortie de l’Union européenne jusqu’en octobre au plus tard. Le feuilleton semble incompréhensible, mais le fond de l’affaire est simple : une majorité de citoyens veut sortir de l’UE, une majorité de députés étaient opposés à ce choix.
Après trois ans d’un incroyable feuilleton dont l’issue était en réalité certaine, les parlementaires britanniques vont choisir dans les prochains jours si le Royaume-Uni quitte l’UE avec ou sans accord.
Le plan proposé par Theresa May a été massivement approuvé par les parlementaires le 27 février
A rebours des espoirs de la grande presse européenne, le premier ministre britannique s’est vu conforté par les députés. Soit les Vingt-sept acceptent de revoir le « filet de sécurité », soit ça sera une sortie sans accord
Le rejet de l’accord avec Bruxelles par les parlementaires britanniques fragilise Theresa May, mais les temps ont bien changé depuis l’époque où les dirigeants européens pouvaient inverser le verdict populaire…
Les incertitudes se renforcent sur les conditions du futur Brexit. Mais la sortie du Royaume-uni aura bien lieu le 29 mars prochain, ce qui constitue un événement historique.
Les deux grands partis britanniques viennent de tenir leur congrès. Chacun d’entre eux est divisé. Mais la détermination de Theresa May reste entière. Le Brexit aura bien lieu, conformément au vote des électeurs de juin 2016.
Le gouverneur de la Banque d’Angleterre, de nationalité canadienne, prédit l’apocalypse après le Brexit, comme il l’avait déjà fait il y a deux ans…
Le président américain a promis à Londres un accord commercial « très très rapidement »
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