Environnement, migrations, Russie : les prochaines élections dans trois pays touchent aux sujets les plus explosifs de l’UE
La cour d’appel de La Haye vient de rendre un verdict atterrant, qui entérine le « gouvernement des juges ». Le système, de moins en moins capable de générer une croissance forte, secrète une idéologie de régression.
Les dirigeants du Service européen pour l’action extérieure (SEAE) de l’UE n’en sont toujours pas revenus. Leur cellule de contre-propagande (baptisée « East Stratcom ») créée pour
Le ministre néerlandais des Affaires étrangères a démissionné pour avoir menti en citant de faux propos de Vladimir Poutine. Ruptures livre ici une interprétation ironique – à lire au second degré – de cet épisode batave.
Les annulations de référendum se suivent et se ressemblent. Le 6 avril 2016, les Néerlandais votaient nettement Non (à 61 %) à l’accord de « partenariat » entre l’UE et l’Ukraine. Quatorze mois plus tard, le 31 mai dernier, presque deux tiers des sénateurs ont annulé ce résultat et ratifié le traité.
Alors que les Pays-Bas n’ont toujours pas de gouvernement, le ministre des Finances sortant, Jeroen Dijsselbloem, s’est résigné à perdre son fauteuil de président de l’eurogroupe.
Des excuses mais… pour avoir été franc.
Président de l’Eurogroupe et ministre des Finances des Pays-Bas, Jeroen Dijsselbloem a fustigé les pays du sud de l’Europe qui, selon lui, ont eu le culot de « dépenser tout leur argent dans l’alcool et les femmes, pour ensuite demander de l’aide ».
À l’issue du scrutin néerlandais du 15 mars, le Premier ministre libéral sortant, en recul, va devoir former une coalition d’au moins quatre partis. Les cris de joie des dirigeants européens et français sont paradoxaux.
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