Alors que la pandémie de Covid n’est toujours pas sous contrôle, la Commission européenne prépare deux décisions qu’elle s’apprêterait à mettre en œuvre en urgence
(Par Charles-Henri Gallois) Alors que les Britanniques s’apprêtent à se rendre aux urnes, les scénarios économiques catastrophes promis par les opposants au Brexit ne sont pas advenus, au contraire
L’arrêt de la Cour suprême aura des conséquences lourdes sur l’équilibre des pouvoirs, bien plus que sur le Brexit lui-même
Une catégorie d’électeurs est souvent oubliée : celle qui réunit les Britanniques ayant voté contre le Brexit lors du référendum mais voulant que le résultat soit respecté. Elle pourrait faire la différence en faveur du Parti conservateur lors des élections générales de juin.
Contrairement aux prévisions apocalyptiques des commentateurs anti-Brexit, le marché du travail britannique se porte bien. Les créations d’emplois sont en hausse, le chômage en baisse.
Par la voix de Paul Ryan, président de la Chambre des représentants américaine, Washington a fait savoir que les négociations autour du partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement n’étaient pas enterrées.
Dans une lettre ouverte, les élus (principalement verts) se déclarent favorables à l’indépendance de l’Écosse et à l’adhésion « rapide, ordonnée et harmonieuse » de celle-ci à l’UE.
Après avoir applaudi le Brexit et pronostiqué le départ d’autres pays membres de l’UE, le président des États-Unis a tenu des propos ambivalents, félicitant Bruxelles pour sa « gestion de crise ».
Une tribune de l’universitaire irlandais Anthony Coughlan.
Jean-Claude Juncker en est convaincu, le Royaume-Uni sera le seul et unique pays à quitter l’Union européenne. Un europtimisme qui fait chaud au cœur.
A partir de 5,50€ par mois