À l’issue du scrutin néerlandais du 15 mars, le Premier ministre libéral sortant, en recul, va devoir former une coalition d’au moins quatre partis. Les cris de joie des dirigeants européens et français sont paradoxaux.
Les noms d’oiseau volent bas entre Ankara et certains pays de l’UE. En cause : la volonté des dirigeants turcs de faire campagne à l’étranger en faveur du Oui au référendum prévu en Turquie le 16 avril.
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