Wo stehen die britische Gewerkschaften nach dem Brexit ?
(Von Charles-Henri Gallois) Für Großbritannien wird 2020 das Jahr sein, in dem die angekündigte « Apokalypse » dem « britischen Wunder » weichen wird
Négociations qui s’amorcent entre Londres et Bruxelles : loin d’être isolé, le Royaume-Uni va désormais pouvoir se ré-ouvrir au monde sans entrave
Après le vote ouvrier massif visant à assurer le Brexit, le premier ministre britannique vient de confirmer vouloir tourner le dos à l’austérité
Le président du groupe socialiste à l’europarlement a relayé, de manière caricaturale, une campagne tendant à dévoyer le vote des Britanniques. Tant à Londres qu’à Bruxelles, les élites mondialisées rêvent de vider le Brexit de son contenu.
A l’issue du scrutin du 8 juin, Theresa May a certes perdu son pari, mais elle améliore nettement son score par rapport à M. Cameron en 2015. La sortie de l’Union européenne n’a nullement été désavouée, les partis ouvertement pro-UE reculent.
Les Britanniques votent jeudi 8 juin. Les économistes européistes, qui avaient prédit la catastrophe en cas de vote favorable au Brexit lors du référendum de juin 2016, admettent s’être « un peu trompés », mais… réitèrent leurs menaces.
En provoquant des élections anticipées, le Premier ministre britannique entend conforter ses positions face à Bruxelles. Elle mine aussi les derniers espoirs de ceux qui espéraient un revirement ultérieur.
L’agence centrale britannique pour le renseignement électronique (GCHQ) a apporté sa pierre aux alertes quasi-quotidiennes qui accusent des pirates « étrangers » de saboter les processus électoraux.
Les représentants historiques de l’aristocratie britannique s’efforcent de faire dérailler le Brexit, c’est-à-dire le verdict du vote populaire.
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