Washington a demandé a son poulain de se retirer provisoirement, pour mieux écarter Nicolas Maduro – une stratégie sur laquelle Bruxelles vient de s’aligner
Contrairement à ce qu’avait annoncé Donald Trump pendant sa campagne, le TTIP n’est pas mort et enterré. Des déclarations récentes de Wilbur Ross, le secrétaire au commerce des États-Unis, montrent que Washington pourrait reprendre les négociations.
D’après les chiffres de l’Observatoire syrien des droits de l’homme, une organisation à la ligne pourtant anti-Damas et anti-Moscou, il y aurait eu au moins 1 497 civils tués par la coalition menée par Washington en 32 mois, soit une moyenne de 47 victimes de « dommages collatéraux » par mois.
Julianne Smith, éminence grise de la candidate malheureuse à la Maison Blanche sur l’Europe, défend une vision néo-conservatrice et interventionniste de la politique étrangère des États-Unis.
Par la voix de Paul Ryan, président de la Chambre des représentants américaine, Washington a fait savoir que les négociations autour du partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement n’étaient pas enterrées.
S’exprimant hier à la Maison Blanche aux côtés du secrétaire général de l’OTAN, le président des États-Unis a inversé sa position sur l’Alliance atlantique : « J’ai dit qu’elle était obsolète. Elle n’est plus obsolète. »
26 des 28 pays membres de l’OTAN ont désormais ratifié l’entrée du Monténégro. Il s’agit bien sûr de contrecarrer « l’influence russe » en Europe.
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