Le n°97 de Ruptures est paru (*)
Au sommaire :
– l’éditorial qui pointe le cas d’école que constitue Air France, où des milliers de suppressions d’emplois sont annoncées à la faveur de l’épidémie, mais du fait de la politique de « compétitivité » promue par l’ultralibéralisme et de la pression des talibans du climat
– un entretien avec Jean-Pierre Page, ancien responsable international de la CGT, qui estime que la direction de celle-ci est « de plus en plus hors sol » et qui pointe l’influence de la CES pour promouvoir un syndicalisme « d’accompagnement »
– un état des lieux des enjeux après le Conseil européen du 19 juin qui n’a pu trouver de compromis sur le plan de relance, du fait des contradictions entre les Vingt-sept ; les marchandages se poursuivent cependant sous la menace d’une implosion de la zone euro
– un retour sur les négociations entre le Royaume-Uni et l’UE sur un futur traité de coopération : celles-ci n’ont pas été débloquées par la téléconférence au sommet du 15 juin entre Bruxelles, qui continue à afficher son arrogance, et Londres, qui refuse de se soumettre aux règles dont le peuple a décidé de sortir
– une analyse du premier tour de l’élection présidentielle en Pologne du 28 juin
– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves
Pour recevoir cette édition, il n’est pas trop tard pour s’abonner.
(*) l’édition est expédiée en tarif urgent, et devait arriver le 3 juillet chez les abonnés. Cependant, en raison des circonstances sanitaires, La Poste peut avoir des retards. En cas de non-distribution au 6 juillet, merci de signaler ce dysfonctionnement au journal.