Le premier ministre hongrois sait que, dans de nombreux Etats membres de l’UE, la guerre a de moins en moins de soutien populaire
Deux sommets européens successifs se sont tenus à Budapest, avec pour hôte le « mouton noir » Viktor Orban
Au grand dam de Bruxelles, la visite a porté « les relations sino-hongroises à leur apogée en soixante-quinze ans d’histoire », et a symbolisé la volonté d’indépendance de Budapest
Le premier ministre hongrois a fini par laisser passer les 50 milliards pour l’Ukraine, mais a gardé son « pouvoir de nuisance » qui fait enrager ses pairs
A l’issue du sommet des 14 et 15 décembre, la perfusion pour Kiev est bloquée ; quant aux négociations d’adhésion, elles ne commenceront pas avant un nouvel examen
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