Ruptures vient d’envoyer une deuxième lettre recommandée à Twitter France – qui n’a pas répondu à la première – pour exiger le retrait du label mensonger que le réseau social nous a attribué le 7 septembre 2020, moins d’une heure après la publication de cet article.
Comme la couverture médiatique de l’affaire est très réduite, y compris du côté des médias dits « indépendants » ou « alternatifs », nous encourageons ceux qui s’inquiètent des avancées de la censure politique et du néo-maccarthysme en ligne à faire connaître les pratiques arbitraires de la firme californienne.
Voici un fac-similé de notre lettre :