Les Russes souhaitent un traité garantissant une architecture de sécurité. Mais côté UE, le ton reste imperturbablement à la Guerre froide.
La firme à l’oiseau bleu refuse toujours de retirer le « label rouge » qu’elle a attribué à « Ruptures ». Twitter refuse même de justifier publiquement sa décision. Retour sur quatre mois d’une affaire entre poussée néo-maccarthyste et arbitraire kafkaïen.
Le réseau social a finalement réagi à nos demandes de retrait du label erroné qu’il nous a attribué début septembre (« Média affilié à un État, Russie »).
La censure en ligne progresse… « Ruptures » vient d’envoyer une deuxième lettre recommandée à Twitter pour exiger le retrait du label mensonger que le réseau social nous a attribué le 7 septembre. Nous rendons public un fac-similé de ce courrier.
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Cela fait un mois que Twitter a attribué à « Ruptures » le label mensonger « Média affilié à un État, Russie ». Le réseau social n’a pas répondu à nos demandes d’explications. Plus grave : aucun média français n’a rendu compte de cette affaire.
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Le 7 septembre, le compte Twitter de Ruptures (@Ruptures_fr) a soudain été affublé de la très étrange mention « média affilié à un Etat, Russie ».
Sur les 56 médias de premier plan que nous avons examinés, 55 ont relayé la théorie du complot du Russiagate, une imaginaire collusion entre Moscou et l’équipe de Donald Trump pour favoriser l’élection de celui-ci à la présidence des États-Unis en 2016.
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