Les Britanniques votent jeudi 8 juin. Les économistes européistes, qui avaient prédit la catastrophe en cas de vote favorable au Brexit lors du référendum de juin 2016, admettent s’être « un peu trompés », mais… réitèrent leurs menaces.
Alors que les Pays-Bas n’ont toujours pas de gouvernement, le ministre des Finances sortant, Jeroen Dijsselbloem, s’est résigné à perdre son fauteuil de président de l’eurogroupe.
En Rhénanie du Nord-Westphalie, les élections régionales du 14 mai ont vu le parti de la chancelière dépasser le SPD dans l’un des fiefs historiques de ce dernier. Ce scrutin test compromet lourdement les chances de Martin Schulz de battre Angela Merkel en septembre prochain.
Alors que le chef espion de la RFA accuse Moscou d’ingérence dans les élections allemandes, la chancelière fédérale n’hésite pas à apporter son soutien à Emmanuel Macron dans la course à l’Elysée
Le premier tour des présidentielles a à nouveau ébranlé l’Union européenne. Les dirigeants de celle-ci entendent expliquer aux Français quel est désormais le « bon choix ».
En provoquant des élections anticipées, le Premier ministre britannique entend conforter ses positions face à Bruxelles. Elle mine aussi les derniers espoirs de ceux qui espéraient un revirement ultérieur.
À l’issue du scrutin néerlandais du 15 mars, le Premier ministre libéral sortant, en recul, va devoir former une coalition d’au moins quatre partis. Les cris de joie des dirigeants européens et français sont paradoxaux.
L’agence centrale britannique pour le renseignement électronique (GCHQ) a apporté sa pierre aux alertes quasi-quotidiennes qui accusent des pirates « étrangers » de saboter les processus électoraux.
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